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Macron a enfin un point commun avec nous !
L'immigration ne devait-elle pas être une chance pour la France ?

Ils arrivent, dans le même temps, à dire que l'immigration est une chance pour la France et qu'elle est indispensable à sa vitalité économique tout en admettant que notre pays a 3000 milliards de dettes et qu'il est au bord de la faillite pure et simple alors qu'il pratique l'immigration de masse depuis quarante ans.

Un esprit logique répondrait que l'immigration, pour n'avoir pas empêché cet état de faillite économique, ne devait pas être une si grande chance que cela ; et il pousserait jusqu'à dire que cette solution qui finalement n'en a pas été une appartient peut-être, au contraire, aux problèmes et qu'il faudrait nous séparer de ce problème pour s'éviter de tomber encore plus bas.

Mais comme ils n'admettront jamais que l'immigration, loin d'appartenir aux solutions qui enrichissent, figure plutôt en bonne place dans le catalogue des raisons qui nous endettent, ils continueront par conséquent de considérer non seulement qu'il faut continuer l'immigration et même qu'il faut l'augmenter toujours plus puisqu'à leurs yeux, l'immigration étant une solution, si elle n'apporte pas suffisamment de fruits c'est forcément que l'on y recourt à doses thérapeutiques trop basses.

Lorsqu'un mauvais médecin vous prescrit le mauvais médicament et que votre mal par conséquent ne diminue pas, comme il est un mauvais médecin il conclura que la non guérison s'explique par une posologie trop basse et au lieu de changer de médicament il augmentera la dose du mauvais remède. Votre mal ne guérira pas, pis il s'aggravera.

Lors de vos discussions avec vos amis, vos voisins, votre famille, vos collègues, si ce thème de l'immigration est abordé et que vous tombez sur des naïfs qui répètent encore le mantra «l'immigration est une chance pour la France», demandez-lui froidement pourquoi dans ce cas notre pays se trouve dans cet état économique catastrophique. Généralement, ça jette un froid, je le confirme d'expérience.
Jonathan Sturel va-t-il annoncer des belles choses éditoriales très prochainement ? 🤔
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Ce militant communautaire a mené campagne contre le directeur de magasin qui a refusé de recruter une candidate voilée. Je lui disais ceci il y a quelques jours. Entre temps, le directeur en question a reçu des menaces de mort. Le militant communautaire, comprenant sans doute qu'il s'était joint à une meute capable de produire le pire, a supprimé tranquillement son message pour s'éviter sans doute d'être accusé d'avoir appelé à la haine et par conséquent appelé à la commission d'un crime.

Il n'y a pas que les barbus qui constituent une menace : ce genre de blogueurs aussi souffle sur les braises continuellement et met des Français en danger. Et cela en toute impunité.
Bienvenue à South Park, nouvel épisode.
L'asile à ciel ouvert, nouvel épisode.
Dans un régime totalitaire, le pouvoir fait surveiller les citoyens par sa police et lui confie la mission de les arrêter dès qu'ils sortent du cadre.

Chez nous, le pouvoir est libéré de cette tâche contraignante et énergivore puisque ce sont les journalistes qui réalisent cette surveillance permanente et attirent l'attention des autorités chaque fois qu'un citoyen sort du cadre.

À la fin, celui qui sort du cadre est toujours exposé à de nombreux problèmes policiers et institutionnels mais dans un cas, parce que c'est la police qui le surveille on appelle cela la dictature, dans l'autre puisque que ce sont les journalistes qui le dénoncent on appelle cela la démocratie.

Finalement, le journaliste moderne n'est jamais qu'un flic qui a échangé son badge contre une carte de presse.
Il s'agirait, sans rire, du résumé et du texte de la quatrième de couverture d'un livre qui va bientôt sortir chez Fayard. L'auteur ? Marlène Schiappa.

Je vous laisse admirer le style, inexistant et qui semble avoir été pondu par une IA de mauvaise qualité, le vocabulaire, la syntaxe, la ponctuation, et le thème évidemment. Comme on dit : rien ne va.

C'est minable à absolument tous les niveaux mais comme c'est Schiappa, non seulement elle a trouvé facilement un éditeur mais en plus il s'agit d'un des plus gros éditeurs français. Pendant que des auteurs vraiment talentueux attendent leur moment, qui ne viendra jamais pour la plupart parce que les éditeurs préfèrent éditer cette sombre daube.

L'état de l'édition française de nos jours est catastrophique. Voilà pourquoi, à La délégation des siècles, il va falloir remonter le niveau et mettre entre les mains des lecteurs de vrais livres, de vrais textes, de vrais auteurs. Restez dans le coin, plusieurs annonces vont bientôt tomber !
Quand tu as tellement pris goût à la dédiabolisation que tu n'arrives plus à t'arrêter de donner des gages de plus en plus superfétatoires.

Marine, nous voulons un parti qui rétablisse la France, pas une Macron avec des cheveux longs et des chats.
On a laissé la gauche s'occuper de l'espace public et des idées pendant quelques petites dizaines d'années et elle a utilisé ce grand pouvoir pour pousser les gens à penser :

- que la France n'est pas le pays des Français,
- que le pénis n'est pas l'organe génital de l'homme et le vagin celui de la femme,
- que Mozart ne surpasse pas Joey Starr,
- que Jeff Koons vaut bien Léonard,
- que Stéphane Séjourné est le successeur de Talleyrand.

La gauche est une opération de subversion permanente des idées et elle opère désormais sur les consciences avec autoritarisme, censure et intimidation pour la raison simple que les gens, dans leur immense majorité, continuent de penser que :

- la France est le pays des Français,
- que le pénis est l'organe génital de l'homme et le vagin celui de la femme,
- que Mozart surpasse Joey Starr,
- que Koons n'arrive pas à la cheville de Léonard,
- et que Stéphane Séjourné n'a strictement rien à faire où il est actuellement.

La gauche a prétendu émanciper le peuple pour le libérer des pouvoirs en lui mettant dans le crâne qu'il fallait abolir les verticalités, les autorités, les ordres, les hiérarchies, la religion, le père et le curé pour leur préférer la liberté absolue, la libération sexuelle, l'abolition de tout et le règne de la jouissance permanente et éternelle... pour finalement, maintenant qu'elle tient le pouvoir, se comporter comme les tyrans qu'elle prétendait combattre.

Par un mécanisme sidérant d'ironie, la gauche a réussi à convaincre les gens qu'ils devaient se séparer de ce qui en réalité garantissait leur bonheur perfectible et leur a refourgué en échange des expédients toxiques desquels ils ne peuvent désormais plus se débarrasser à cause de cette même gauche qui insiste pour les leur faire garder, y compris de force, y compris par l'intimidation.
Ils commencent à réaliser qu'ils sont en train de perdre. Ce n'est que le début, le monde réel n'en peut plus de vos conneries, sales gauchistes !
La gauche sociétale décline car le réel reprend le dessus.

Depuis un certain temps je fais partie de ceux qui voient au milieu du désastre en cours des signaux rassurants. Certes, la totalité du complexe médiatico-politique est tombée dans la folie progressiste nihiliste et une bonne partie de la population n'a pas été capable de résister à ce tsunami idéologique, politique, culturel et métapolitique.

Mais je continue de maintenir que le pays réel existe encore et que si l'on gratte un peu le vernis, si l'on discute réellement entre quatre yeux avec quelqu'un, on réalise très vite que le bon sens n'est pas mort dans le cœur de nos contemporains, même lorsqu'eux-mêmes paraissent l'ignorer.

Je prends l'exemple de l'annonce récemment faite à propos de ce «designer français», un certain Simon-Porte Jacquemus, tout fier de nous faire savoir qu'avec son mari ils sont «devenus papas»... évidemment, la presse compromise relaie cette information en l'enjolivant de toutes les formules possibles pour lui donner un caractère merveilleux, heureux, magnifique et émouvant. Or nous parlons bien d'un couple de riches bourgeois du système qui achète littéralement des bébés à des mères qui ont porté ces bébés pour les vendre. Peut-on faire plus sordide ?

La presse s'extasie et donne ainsi l'impression que tout cela est normal. Mais lorsqu'on entre dans le détail des commentaires des internautes et lorsqu'on évoque ce sujet dans la vraie vie comme je l'ai fait depuis l'annonce, il ressort distinctement que les gens, devant une telle information, font un pas en arrière et refusent d'applaudir. Car même lorsque l'on ne s'était jamais vraiment posé la question avant, sitôt que l'on entend que deux hommes achètent des bébés pour satisfaire leur besoin égocentrique de jouer aux parents, une petite voix fait irruption depuis le fond de notre conscience et on l'entend qui se demande : où est la mère ? Comment ces enfants vont-ils grandir sans mère ? Comment est-il possible que des mères vendent leurs bébés et que des monstres les leur achètent ?

D'ailleurs, entrez dans le détail des gens qui, sur les réseaux depuis hier, applaudissent ce Jacquemus : il s'agit presque exclusivement de politiciens ou de militants de gauche ou de militants LGBT. Voilà les seules personnes qui en réalité trouvent cela réjouissant. Soit une toute petite minorité évidemment et une minorité engagée, par définition militante et donc de parti pris.

En dehors de ces toutes petites minorités politisées, le monde réel des vraies gens refuse d'applaudir et à l'intérieur de cette majorité silencieuse, des poches de moins en moins silencieuses veulent se faire entendre pour crier leur dégoût de ce qu'est devenue la fameuse société merveilleuse que les vendeurs de rêves leur promettaient.

Je vous le dis : la gauche, à force d'excès, de surenchère, est en train involontairement de refaire prendre conscience aux hommes et aux femmes de notre temps que ce dans quoi on nous a fait mettre les pieds ressemble de plus en plus à une énorme flaque de vase répugnante.

La gauche sociétale est déjà morte en réalité, mais maintenue en vie artificiellement par les médias et les politiciens du système qui sont les seuls, qui sont les derniers à vouloir encore de ce château de cartes bâti sur des sables mouvants.

Leur monde s'écroule, c'était d'ailleurs inévitable.
Depuis hier, parce qu'il a acheté des bébés sur catalogue avec son mari, Simon Porte Jacquemus est devenu l'idole de la micro-sphère militante LGBT et des politicards de gauche. Voilà le genre de personnage dont on parle.
Si le complexe médiatico-politique, largement favorable aux dérives sociétales woke, y compris donc la GPA, déploie une telle énergie contre Marion Maréchal coupable d'avoir posé une simple question, c'est pour faire diversion, allumer un contre-feu après que l'annonce de l'achat de bébés par #Jacquemus a suscité une immense vague de protestation, de rejet et de commentaires négatifs partout sur Internet.

Les gens n'en peuvent plus des dérives, de la surenchère woke et de cette société folle qu'on nous prépare. Les journalistes et les politicards, au lieu d'en prendre acte, décident de faire monter médiatiquement et politiquement le sujet «Marion homophobe» pour évacuer au plus vite la séquence «deux types ont acheté des bébés sur catalogue», séquence qui est clairement en train de se retourner contre les promoteurs de ces pratiques sordides.

Le pays réel se réveille petit à petit et le pays légal, lui, continue sa course vers des objectifs qu'on ne lui laissera pas le temps d'atteindre. La gauche sociétale est d'ores et déjà condamnée par ses excès.

Leur réaction collective contre Marion Maréchal est le signe de leur détresse. Ils perdent, ils le savent.
Les bonnes nouvelles existent aussi.

L'abbé Raffray était attaqué en justice sur dénonciation de la ministre Aurore Bergé qui lui reprochait des «propos homophobes».

Il avait expliqué qu'un homme, pour être correctement chrétien, doit résister à ses passions, à ses pulsions et à ses tentations et il avait ajouté «les tendances homosexuelles» à la liste des tentations en question.

Il n'avait fait que rappeler un point de doctrine tel qu'il est enseigné par l'Église depuis sa fondation.

Le procureur de la République, après examen des propos en question, juge qu'il n'y a pas matière à poursuivre et il classe l'affaire.

Succulent camouflet pour Bergé et plus généralement pour les hordes qui travaillent à éteindre toute liberté de penser dans ce pays.
Ce qui arrivera inévitablement.

D'abord ils légaliseront la GPA puis, dans quelques années, lorsque cette pratique sera parfaitement entrée dans les us et coutumes, un illuminé pointera son nez et trouvera que la simple GPA est devenue trop réactionnaire, pas assez libre, pas assez moderne, pas assez progressiste, et il proposera qu'une mère puisse vendre son enfant jusqu'à l'âge de 1 an, puis 2, puis 5 et pourquoi pas jusqu'à l'âge de 10 ans ?

Et il trouvera des réseaux militants, des politicards de gauche, des associations de gauche pour dire qu'il a raison et pour l'aider à diffuser son idée.

S'ils arrivent à faire tomber la barrière éthique et civilisationnelle qui retient la GPA hors de nos pratiques, c'est-à-dire s'ils arrivent à faire entrer dans les mœurs que l'on peut vendre son bébé et que la filiation naturelle entre le parent et l'enfant n'est pas plus importante qu'un contrat de vente, alors ils ouvriront un champ qui, débarrassé de ces principes, rendra possible à terme que l'on vende son enfant en cours de vie. C'est la suite logique et mécanique ; c'est la suite inévitable.

Et vous trouverez des fanatiques, des militants, des activistes pour roder des discours, des argumentaires et des sophismes en faveur de cette forme de «GPA post-natale». Et vous trouverez aussi des naïfs, des imbéciles, des crétins pour se dire, à la lumière de ces argumentaires sophistiques : «Oui, c'est vrai, ils n'ont pas tort finalement, faut bien vivre avec son temps !»

C'est écrit.
Il faut refuser aux fous le droit de nous imposer leur folie. Les gens normaux doivent reprendre la main sur les affaires publiques.
Dès que la droite 2.0 sort de la question migratoire, c'est presque systématiquement pour divaguer bêtement et rejoindre l'extrême-centre (Gilets jaunes, covid, anticomplotisme, etc.)

Un énième exemple ici.
On regarde les informations et c'est systématiquement la quatrième dimension.

Dans la même séquence, vous avez :

Le résident américain d'origine africaine Omar Sy qui revient sur les plateaux pour dénoncer sempiternellement l'extrême-droite, le dentiste marseillais Salim Laïbi qui appelle les Musulmans à quitter la France pour se mettre à l'abri du racisme des Français (??), le maire de Grenoble Éric Piolle qui réclame la dépénalisation du cannabis, Macron qui veut partager la dissuasion nucléaire française avec le reste de l'Europe, le maire de Tilloy-lez-Marchiennes dans le Nord qui, toujours déguisé en femme, accuse Dorat Moutot d'être nazie parce qu'elle a co-écrit un livre pour dénoncer le transactivisme, les islamo-gauchistes de Sciences-Po qui décrochent le drapeau français de la façade de l'établissement pour lui substituer un drapeau palestinien...

... et au milieu de tout ça, au milieu de cet immense épisode de South Park devenu réalité, vous avez Mathis, adolescent français de 15 ans, notre petit frère, notre gamin à tous, poignardé à mort pour un téléphone par un migrant afghan à Châteauroux.

Un de plus, un mort de plus, encore un des nôtres qu'il va falloir enterrer dans l'indifférence d'une classe médiatico-politique encore occupée à palabrer sur le cannabis, sur le racisme et la transphobie des Français et sur la pluie qui tombe un mois d'avril.

Comment ne pas les détester de toutes nos forces ?

Repose en paix Mathis.
Là-haut, bon gamin, dis à Lola, à Thomas et à tous les autres qu'on ne les oublie pas.
Sylvain Durif, wokisme et transactivisme.

Je ne vois pas de différence fondamentale, sur le plan de la construction mentale, entre un homme qui se prend pour une femme et Sylvain Durif qui se prend pour le Christ cosmique.

Si le réel ne compte plus, si l'on accepte que le réel ne compte plus et que l'on commence à accepter que chacun est non ce qu'il est mais ce qu'il dit être, et si cela doit nous faire appeler «madame» un homme en jupe qui «s'identifie à une femme», cela doit aussi nous faire appeler «Seigneur» ou «Votre altesse» un Sylvain Durif qui s'identifie au Christ cosmique.

Or il ne viendrait à personne l'idée d'appeler Sylvain Durif de ces manières et ce même si nous pensons que le concerné est potentiellement réellement convaincu d'être le Christ Cosmique. Parce qu'au-delà de ce qu'un individu peut s'imaginer, il y a la réalité palpable, tangible et factuelle et dans cette réalité il n'y a pas de cas où Sylvain Durif devient homme-oiseau de l'espace sous prétexte qu'il s'est lui-même convaincu de l'être.

D'ailleurs Sylvain Durif a prétendu avoir des pouvoirs qui lui viennent de sa divinité cosmique : personne n'a jamais vu ces pouvoirs se manifester bien que le concerné soit convaincu d'en être doté, exactement comme on n'a jamais vu une femme amputée des seins développer un cancer des testicules ou un homme en jupe avoir ses règles.

Le réel refuse de «jouer le jeu», c'est-à-dire refuse d'attribuer à Durif le don d'ubiquité qui témoignerait de sa substantielle divinité cosmique et il refuse à Robert d'avoir les menstruations qui témoigneraient de sa condition de femme. Le réel est manifestement réactionnaire et transphobe.

Si les transmaniaques veulent être vraiment en conformité avec leur propre conception du monde et nous montrer l'exemple, ils doivent dès à présent appeler Sylvain Durif «Votre Altesse», et ce au premier degré, c'est-à-dire sans moquerie ni ironie, faute de quoi nous devrons, nous autres qui refusons également de l'appeler de cette manière, continuer aussi de refuser d'appeler «madame» un type qui s'habille en fille.

Puisqu'ils veulent jouer aux cons, jouons.

#Transmania
2024/05/02 18:50:26
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